De nulle part !
Aux frontières de l’inadmissible.
Osez le voyage …
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Cosmologie
Voir le texte de l'auteur CommanderLa cosmologie est la partie de l’astrophysique qui étudie l’origine, la nature et l’évolution de l’univers. Cette image est finalement très simple ! Elle représente ce que je crois avoir compris de la structure du monde dans lequel nous évoluons.
La décrire par contre est quasiment impossible. Ce serait tenter de mettre des mots sur ce que nous sommes et sur nos origines. Quand je dis nos origines, cela inclus les origines géographiques (la terre, le système solaire, etc…), mais aussi nos origines humaines. Parce qu’en définitive, puisque l’infiniment grand n’est construit
que d’infiniment petit, entre l’apparition de la terre et celle de la vie sur terre, et donc de nous-mêmes, les différences ne devraient pas être si grandes que cela.Lorsque je regarde cette image j’y vois aussi bien une représentation de la planète terre
qu’une forme vaguement humaine. Le vide dans l’univers n’existe pas. Les scientifiques vont parler de champs, de matières diverses. Mais la conclusion est qu’il y a toujours quelque chose. Il y a des matières qui vont s’agréger et avoir une faculté de modifier leur environnement. Donc si on imagine que le vide de l’espace est une force équilibrée. Lorsqu’un objet comme une planète va se créer, ce nouvel objet va avoir une tendance à déformer la structure environnante.Imaginons le vide comme un tissu tendu. Jetons-lui dessus une bille un peu lourde. Le tissu va se déformer et la bille se mettre à rouler en suivant la déformation du tissu. La bille étant notre planète, nous avons l’explication simple du mouvement de la terre.
Cette déformation, par un objet qui induit un mouvement, est bien visible sur cette image. Mais puisque le vide n’existe pas, y compris sur la terre. Nous pouvons en déduire que les humains, n’étant pas autre chose que des matières qui se sont agrégés dans un ordre particulier, ont le même comportement que la bille sur le tissu. Ne sommes-nous pas là au début d’une explication de ce que pourrait être le charisme ? Ou d’autres phénomènes d’ailleurs. La forme est quand même assez féminine, et peut rappeler d’autres phénomènes.
Einstein, malgré son génie, ne croyait pas en un monde dynamique, il avait une vision statique de l’univers. Il en a même modifié artificiellement sa formule de la relativité pour qu’elle corresponde à ce qu’il pensait. Il regretta très fort ce choix intellectuel lorsque le mouvement de l’univers devenait une évidence pour tous les chercheurs. C’est peut-être ce qu’il y a de plus évident dans cette image : le mouvement, sans fin, qui semble entrer ou sortir du cadrage. On ne voit rien de l’origine ni de la finalité, on en voit simplement une représentation à un moment donné.
Enfin et pour finir cette image est liée à 2 sensations. Sensations qui ont été ressenties lors de la construction de l’image. Donc à un moment où tout ce qui vient d’être écrit ici n’était pas présent.
J’ai terminé cette image le jour où ma fille passait son bac de français. Bien sûr, ce jour-là, j’ai eu une pensée pour elle. Fermant les yeux, je me concentrais sur son épreuve. Cela pouvait-il avoir de l’influence ? Non, bien sûr.
Elle a brillamment réussi son examen, et elle ne le doit qu’à elle-même. Ouf ! Mais je n’ai pu m’empêcher de penser, à cet instant, à l’influence des forces que j’imaginais au travers de l’image que je finissais. Et d’ailleurs, dans un premier temps l’image faillit s’appeler Stendhal, car elle était tombée exactement sur le sujet qu’elle voulait (le rouge et le noir).
Un peu plus tard, alors que l’image était terminée. Nous assistions à un concert estival où se produisait un groupe qui interprétait des musiques et chansons d’Europe de l’Est. La musique slave que j’entendais pour la première fois me touchait. Je sentais quelque chose, une sensation de force, une sensation de tectonique. Quelque chose relié à la terre et à la puissance des choses. Je sentais le vide des grands espaces, je sentais l’air courir dans ces espaces. J’entendais la terre. Il y avait 2 ou 3 musiciens et une chanteuse.
Et d’un coup, sans transition, l’image dont nous parlons s’est matérialisée dans ma tête. C’est la première fois que j’ai eu cette sensation, de voir une image se composer aussi précisément devant moi. Et je voyais clairement la chanteuse et le rythme de la musique dans l’image. C’était impressionnant.
Enfin et pour finir, et à l’intention de ma petite famille. L’on pourrait se demander d’où je sors cette photo ? Un Photoshopage intensif ? Que nenni.
Elle est dans la maison, dans le bureau, visible de tous. Vous l’avez tous vu, vous l’avez même certainement touché ! Il suffit de regarder.
Cosmologie
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La Reconquête
Voir le texte de l'auteur CommanderL’humain a pour habitude de tout quantifier. Immanquablement cela nous mène à une conception de choses parfaitement maîtrisée. La géométrie avec ses formes parfaites en est l’aboutissement.
Arriverons-nous un jour à quantifier et donc à condenser dans une formule mathématique l’origine et le sens de la vie ? Nous ne serions alors plus très loin de découvrir le secret de la pierre philosophale.
La vie a ses propres règles qui trouveraient leurs repères dans l’explosion et l’atypique.
On aurait pu imaginer une reconquête de l’espace par le bas. Une masse de verdure grimpante, rampante, grignotant au fil du temps cet espace incongru, représenté par ce bloc venu d’ailleurs et défigurant la constance du paysage.Il n’en fut rien, comme un défi, ce fut par le haut que la reconquête eut lieu. Là où nous pouvions le moins l’attendre.
La Reconquête
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Holocauste
Voir le texte de l'auteur CommanderUn cerisier brûlé et recouvert par les ronces.
Une image qui m’aura donné du mal.
La terre est en danger, une expression à la mode.Holocauste, au sens littéral, est un sacrifice par le feu. Cette expression fut détournée de sa valeur originale par les horreurs de la seconde guerre mondiale.
Ici, le cri que semble vouloir pousser cet arbre qui a donner tant de vie et de plaisir est terrible.Une masse consumée et noircie qui se fige dans l’expression de ces dernières secondes. Un organisme vivant qui a su si bien chanter le printemps et les premières chaleurs de l’été. Un sacrifice ? Peut-être, celui que l’homme donne à ses dieux, le progrès !
L’évolution à marche forcée, cette envie et ce pouvoir de consommer, de consumer, dans un besoin immédiat sans se poser la question du niveau d’intelligence de nos actes. Se figer sur soi-même dans l’instant, plutôt que de se projeter sur la dynamique du temps et de la répercussion de nos pensées, et de nos actions, sur le bien-être de nos conditions de vies futures.
Notre liberté s’arrête là où commence celle d’autrui. Notre bien-être devrait aussi s’arrêter là où commence le malheur des autres, même si ces autres ne sont qu’en devenir.
Holocauste
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Extinction
Voir le texte de l'auteur CommanderRéchauffement climatique, extinction des espèces, tout un vocabulaire malheureusement entré dans notre quotidien. Une photo qui a été prise pour exprimer ce contexte.
Pourquoi pas !
Mais si le photographe n’avait rien voulu, et s’était simplement contenté de prendre la photo
d’une rencontre, un instantané sans préméditation !Oui, cette photo aurait pu être le résultat d’un travail pensé et voulu. Le photographe aurait pu avoir envie de mettre en image la notion de réchauffement et de catastrophe. Il aurait eu cette idée d’une glace ayant une forme vivante et fondante sous l’effet d’une chaleur trop grande.
Sauf que rien ne s’est passé ainsi. Il s’agissait simplement d’aller faire découvrir un paysage d’altitude à une personne qui lui était chère. Un joli lac de montagne entouré de neige même en plein été. Il s’agissait donc d’aller sur un site où la glace était naturelle et constante.
Mais à leur arrivée le paysage n’était pas celui connu. Il y avait bien encore un peu d’eau dans le lac, mais surtout, la neige qui était censée l’enchâsser avait presque disparue. Arrivée en bordure de l’eau, le photographe ne s’est pas dit qu’il fallait faire une photo de cela. En s’approchant de l’eau, cette expression de visage est tout simplement venue à la rencontre de son regard et il l’a simplement photographié comme il l’aurait fait si ça avait été une marmotte se laissant un peu approcher.
Autrement dit, le sujet photographié est naturel, il est là, tout simplement. Il y a dans son expression, une réalité déconcertante qui met en défaut la vision humaine de la nature. Puisque, de ce qu’on nous a appris, les matériaux ne peuvent pas exprimer des sentiments.
Mais c’est plus fort que moi, quand je regarde cette photographie, je ne vois qu’un cri de colère venant d’un paysage qui a clairement pris conscience de sa prochaine disparition.
Extinction
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L’Autre
Voir le texte de l'auteur CommanderL’autre monde : Mon univers est celui de la terre. Concret car mes pieds le foule. L’intelligence supposée de mon espèce me permet de dire que cette terre est ronde. Elle tourne autour du soleil. Elle se déplace dans un univers immense, vide, où rien n’est comme chez nous.
Lorsque nous tentons d’imaginer cet espace au-delà du nôtre, il faut bien avouer que c’est perturbant, nous n’y comprenons rien. Et c’est peut être devant cette incompréhension que nous avons inventé Dieu. Car au moins on donne une explication à tout cela, et nous pouvons dormir rassuré.
Quand je suis arrivé sur cette image, j’ai d’abord vu un visage, et ma première photo a été de cadrer serré autour de ce visage de pierre. Puis rapidement le galet a attiré mon attention. Mais est-ce vraiment exact de dire que c’est le galet qui a attirer mon attention ? N’est-ce pas plutôt le regard, interrogateur et curieux, du personnage qui m’a interpellé. N’ai-je pas suivi son regard, qui m’a fait sortir de son univers rugueux, pour m’emmener vers cet espace plus fluide qui ne ressemble pas à son monde à lui.
L’autre chose : Le visage de pierre semble scruter cet objet avec une attention soutenue. Il semble se demander : Mais c’est quoi ça ? Voir cette chose lisse, qui semble pouvoir se déplacer sans heurt dans un environnement qui semble si meuble comparer au sien, cela semble l’interroger. Lui s’est construit dans un monde fait d’une certaine dureté qui le rassure par sa stabilité. C’était comme ça hier, et ce sera pareil demain. Les lignes de cassures qui parcourent son monde attestent pourtant que cette fixité a un prix, et qu’elle n’est peut-être que superficielle !
L’autre : De notre point de vue d’humain, nous n’avons aucun mal à classer les sujets ici présents dans le monde minéral, ce sont des cailloux. Ils sont peut-être même à l’origine constitués de la même roche. Tout comme les humains entre eux, leurs compositions physiques et chimiques sont identiques et pourtant leur différence visuelle est nette.
L’espace qui les entoure exprime également cette différence. La plupart des humains diraient qu’ils sont bien adaptés à leur environnement, rien de plus normal, et que la nature est vraiment bien faite. L’on pourrait aussi considérer que c’est leur environnement qui les a conditionnés à être ce qu’ils sont. La nuance est faible, on joue sur les mots ? Peut-être !
Ils auraient pu être identiques, mais ils sont différents ! Ils sont différents parce qu’ils n’ont pas évolué dans le même monde. Le galet roulé, à son origine, appartenait à un bloc aussi rigide que le visage de pierre. Pour une raison quelconque, il a été séparé de son bloc d’origine. Il a ensuite été déplacé, roulé. Ses voyages l’ont façonné.
Nous pouvons imaginer par exemple sa rencontre avec un lieu humide où courait un ruisseau qui l’aurait transformé physiquement lui donnant cette forme polie. Au-delà du milieu dans lequel nous pouvons les observer aujourd’hui nous nous apercevons que l’explication première à leur différence est à chercher dans leur histoire.
Dans cette image, l’un prend conscience de cette différence. Son regard est vraiment fixé sur l’autre, il est plein de curiosité, mais on a du mal à voir ce qui l’emporte entre l’expression d’une certaine angoisse ou celle d’un enthousiasme face à la découverte ?
Est-il réellement possible à l’un de comprendre l’autre. Leurs repères historiques (donc culturels et sociaux pour parler en langage humain) sont si tranchés qu’on peut se demander s’il y a réellement possibilité à l’un de comprendre l’autre ?
Je ne connais pas la réponse.
Mais s’il pouvait y avoir au moins une acceptation de la différence ce serait déjà énorme.L’Autre
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L’instant d’Avant
Voir le texte de l'auteur CommanderIl y a dans l’instant une dimension de brièveté. Il y a dans la vie une dimension de longévité.
Les 2 font parties d’un même mouvement que l’on l’aimerait tranquille. Et pourtant, il peut arriver qu’en un instant, quelques secondes, un événement survienne que l’on n’oubliera jamais, et qui conditionnera tout le restant du chemin.Même pour ceux qui dans leur vie ne rencontreraient aucun événement susceptible de tout modifier. Il restera toujours le dernier instant avant le moment où nous arrêterons de respirer définitivement.
Dans cette photo prise en Ariège, alors que nous étions partis à la rencontre de nos lointains ancêtres qui s’aventuraient dans les grottes pour y dessiner, ces chevaux paissant librement m’ont interpellé. Nous voyons ces chevaux paître paisiblement, mais quand même se regrouper autour du seul point de protection qui se trouve dans leur entourage.
On sent bien que quelque chose de sourd est à l’œuvre. Cela fait partie de ces moments où l’on sent qu’il pourrait se passer quelque chose. Que ce quelque chose pourrait être dangereux, mais surtout qu’il pourrait être imminent. Et que dans un instant plus rien ne pourrait être comme avant.
Bien sûr en regardant le paysage et le ciel menaçant, la première idée serait d’imaginer un terrible orage. Mais justement, dans la vie, est ce que ce qui semble le plus évident est toujours la chose la plus exacte ?
Et si finalement je m’étais trouvé devant un phénomène incroyable !
Si cette vision des chevaux était bien contemporaine de ceux qui avaient été dessinés dans la grotte de Niaux. Si ces nuages menaçant n’étaient pas l’annonce d’un orage imminent, mais la conséquence d’un autre phénomène.
Qu’en un instant, une porte s’était ouverte sur la logique du temps et que j’avais photographié une scène qui s’était produite il y a 15 000 ans. Quand je regarde cette image je ne peux pas m’empêcher, même si on ne les voit pas, de sentir quelque part une présence humaine.
Des hommes qui ne se déplacent pas en voiture car ils n’en connaissent rien. Mais des chasseurs cueilleurs de l’époque de ceux qui allaient dessiner dans les grottes.
L’instant d’Avant
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Profanation
Voir le texte de l'auteur CommanderUne année sèche, des incendies en milieu urbain. Un des incendies s’est propagé de part et d’autre d’une route fréquentée. Nous sommes allés voir.
Le feu est terriblement destructeur. Une forêt calcinée c’est terrible.
Tout est gris, plus rien de vivant.La poussière. Une couche de cendre si épaisse qu’on a la sensation de poser le pied sur un sol qui n’en est plus un. Le corps se sent flotter tellement les appuis sur le sol ne sont pas nets.
L’odeur est omniprésente mais indéfinissable. J’ai déjà fait brûler du bois, j’en connais l’odeur. Mais là c’est différent. Finalement l’odeur est comme l’appui sur le sol, elle est floue.
Un monde gris, sans vie, sans plus rien.
Sans plus rien ?
Pas tout à fait…Car dans ce rien, il y avait quand même certaines choses identifiables, et elles étaient d’origine humaine. Des débris de machines.
Nos poubelles encombrantes, pas belles, qui nous gênent, et qu’on jette sur un bord de route bien boisée. Ainsi ni vu ni connu, on ne les voit plus, comme nous sommes devenus des urbains et que nous ne pratiquons plus la forêt, c’est super, on ne voit jamais rien, et la forêt, vue de l’extérieur reste belle. Seuls les arbres sont peut-être mécontents de cette pollution. Mais comme nous ne pouvons pas leur parler, ça ne pose pas de problème.
Parmi tous ces débris, un avait une posture particulière.
Il était retenu par un de ses bras à une branche et posé simplement en appui sur un début d’arbre. Il est tombé là, dans cette position depuis plusieurs années attendant de se décomposer lentement.Posture, bras, voilà des mots qui font penser à quelque chose de vivant.
Et effectivement il y a quelque chose de dynamique dans la façon que cet objet a de se tenir.
Jeté, car il était devenu inutile. Le feu, peut être d’origine humaine, a de nouveau contribué à sa transformation. Une profanation en quelque sorte ?Profanation
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Epave
Voir le texte de l'auteur CommanderMais qui sommes-nous ?
Il n’y a rien d’extraordinaire dans cette photographie. Elle est banale par sa répétition dans notre quotidien. Mais justement, qui sommes-nous pour pouvoir penser que ce sujet est usuel ? Ou plutôt quelle est donc notre image de la nature pour pouvoir admettre cela !
Avant que le manque d’eau ne se fasse réel et que la chaleur ne devienne insupportable dans notre quotidien, le changement climatique se caractérisait essentiellement, dans les discours, par la disparition de nombreuses espèces vivantes sur notre planète. Si effectivement la disparition de ces espèces vivantes est problématique, elle n’est en rien dramatique pour la vie. Car la vie se résume à un petit codage informatique que même les poussières célestes sont capables de transporter et que la vie sur terre pourrait même avoir pour origine des poussières venues de l’espace ?
Cette photo l’exprime bien, nos déchets peuvent être ce qu’ils veulent, leurs excès mettront surtout en péril notre existence. La vie sera toujours plus forte et la nature continuera son chemin comme elle le fait avec cette voiture abandonnée, et si le chemin de reconquête est trop difficile elle prendra de nouvelles apparences et de nouvelles vies s’inventeront.
Finalement, l’idée que la disparition de la nature, dont nous avons besoin pour vivre, est la fin de tout, exprime bien mieux que tout autre discours notre décalage important avec la nature et dont l’erreur principale, est de nous situer au cœur ou au-dessus, de toutes les vies possibles.
Epave
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